Une conférence sur les médias nigérians clôture un séminaire à Valence concernant l’impact des moyens de communication en matière d’immigration et de développement durable.

Le professeur Jenkeri Zakari Okwori, de l’Université Ahmadu Bello de Zaria (Nigeria), a clôturé hier, à la Faculté de Philologie de l’Université de Valence, le séminaire intitulé Le traitement de l’information concernant l’Afrique Subsaharienne dans les médias et son impact en matière d’immigration et de développement durable. Cet événement, débuté le 18 octobre, incluait des cours magistraux de José Carlos Sendín, Mbuyi Kabunda et Alfonso Armada et une table ronde animée par Sidibe Moussa. Y ont collaboré : le Patronat Sud-Nord, la Chaire UNESCO et la Faculté de Philologie, de Traduction et de Communication de l’Université de Valence, les Études de Politiques Extérieure, Bancaja et Casa África.

Le professeur Okwori a décrit hier la réalité médiatique nigériane, depuis l’importance croissante des technologies de l’information ou les modes de communication, comme la vidéo participative ou le théâtre pour le développement, jusqu’au déclin des journaux ou la tendance des publics nigérians à avoir davantage confiance en les radios et les télévisions étrangères que locales.

L’universitaire nigérian fait partie de la liste de Esfera pública africana (Sphère publique africaine), l’un des titres de la Collection d’Essais Casa África, éditée en collaboration avec Libros de La Catarata.